Perdus. Dur dur. (Très long)
Perdus. Dur dur. (Très long)
Bonjour,
cela fait environ un 1 an que je connais ce site. Je le de temps en temps, essayant de ne pas y passer trop de temps. Notre parcours commence simplement: mariés, nous nous aimons très fort et désirons fonder une famille. J'arrête la pilule et nous attendons. Nous sommes très heureux, on se réjouit énormément. Six mois passent. Mes cycles sont longs, très longs. J'hésite à ma appeler ma gynécologue, j'ai peur qu'elle me rie au nez et me traite d'impatiente. Finalement, un cycle de 69 jours m'inquiète. En accord avec mon mari, je téléphone à ma gynéco pour lui demander son avis. Je ne demande même pas un rendez-vous, je voudrais juste savoir si je dois me préoccuper de ces cycles très longs. A ce stade je me dis qu'elle me répondra certainement de la rappeler 6 mois plus tard. Mais surprise, elle me propose un rendez-vous. C'est là que tout commence.
Lors du rendez-vous je lui explique la raison de ma venue en quelques mots. J'insiste sur le fait que c'est la longueur de mes cycles qui m'interpelle et non l'absence de grossesse après 6 mois d'essais. Sa première idée sera de me faire une échographie pour vérifier si j'ai des kystes sur les ovaires. Je n'ai jamais eu ce genre d'examen et je suis un peu surprise qu'elle se serve d'une sonde (j'ai l'image de l'échographie abdominale...). En plus, le jour du rendez-vous, mes règles ont débarqué après 45 jours. Moi qui normalement doit me forcer pour aller chez le gynéco, je dois m'accomoder d'une échographie vaginale en pleine période de règles. Bref. Je n'ai pas de kystes. Elle me prescrit alors une prise de sang pour vérifier mes taux d'hormones et me dit que j'ai peut-être un petit déséquilibre hormonal. Rassurante, elle m'explique aussi que la médecine sait très bien corriger ce genre de problèmes. Je rentre chez moi plutôt rassurée, même si j'appréhende quand même les résultats de la prise de sang. Une semaine plus tard, les résultats sont là. J'ai effectivement une déséquilibre hormonal "modeste" (ce sont ses mots). Elle me prescrit du Clomid et du Duphaston et m'explique que je vais devoir refaire une échographie et une prise de sang pour surveiller l'évolution de mes follicules. En rentrant chez moi je suis un peu chamboulée, j'ai l'impression de mettre le doigt dans quelque chose que je ne maîtrise pas. Mon mari me soutient beaucoup.
A l'échographie de contrôle ma gynéco ne peut que constater l'échec du traitement. Elle me fait quand même une prise de sang pour en être sûre. C'est le premier moment douloureux. Nous sommes déstabilisés et inquiets. Au rendez-vous suivant mon mari m'accompagne. La prise de sang confirme l'échographie: pas d'ovulation. En quelques phrases, le couperet tombe, elle dit ne rien pouvoir faire pour nous et nous envoie dans un centre spécialisé à Lausanne. Cette nouvelle est dure à avaler. Nous commençons à comprendre qu'il va probablement falloir renoncer à avoir un enfant sans aide médicale. Pour nous qui souhaitons une grande famille, le choc est rude. Malgré tout, on reste unis et confiants. Mon mari doit subir un premier "examen", un spermogramme. Ce sera un moment désagréable mais il est heureux de pouvoir s'impliquer plus.
NOus voilà à Lausanne. Le médecin nous pose énormément de questions. Certaines sont très intimes et nous laissent entrevoir ce que signifie partager sa vie très privée avec des médecins. Lors de ce même rendez-vous, j'ai droit à une nouvelle échographie. Le médecin nous explique que j'ai probablement des opk. C'est la première fois qu'un diagnostic précis est posé. Cela nous soulage beaucoup, surtout qu'en général ce n'est pas très grave. Le médecin nous propose alors une étude de cycle complète, étude qui implique la prise de clomid et des échographies de contrôles. Rien de plus précis n'est dit.
Commence alors une période d'attente (cycle long et vacances d'été...). Nous partons alors en vacances. détendus et heureux.
Puis, je téléphone pour annoncer mes règles. Nous ne l'avions alors pas compris mais tout est très calculé et organisé (rendez-vous à jours fixes...). Encore une échographie. Je ne les compte plus. Je dois prendre une double dose de Clomid, ce qui m'occasionne quelques bouffées de chaleur désagréables. A l'échographie de contrôle du milieu de cycle ma gynéco voit des images "lacunaires" sur mon utérus, elle ne sait pas ce que c'est. Par contre, un de mes ovaires fonctionne enfin. Les images sont faxées à Lausanne, je dois attendre des nouvelles. La seule information que j'aurai sera un rendez-vous le lundi suivant (nous étions un vendredi). Nous passons un week-end stressant à nous imaginer ce que je peux bien avoir. Lundi matin mon mari m'accompagne. Nous sommes tendus et commençons à trouver ce parcours pénible.Pendant l'échographie (encore), mon mari me tient la main, on respire ensemble. Ma gynéco ne dira rien de plus sur les "images lacunaires" mais confirme l'évolution d'un follicule. Une ovulation se prépare. Nous ressortons du cabinet soulagés, tous les espoirs semblent permis. Quelques heures plus tard, c'est autres chose... J'ai un téléphone du cabinet de ma gynéco. La secrétaire m'informe que j'ai rendez-vous le lendemain à 8h à Lausanne pour un test post-coïtal, test qui suppose un rapport sexuel le soir même entre 22h et 23h. Je suis abassourdie par cette nouvelle. Personne ne nous avait parlé de cela. J'en parle à mon mari qui est aussi choqué que moi. On ne comprend rien et on se sent traités comme des choses. Tendus et inquiets, nous suivons les instructions et allons ensemble au rdv à Lausanne.
Le fameux teste consiste en un prélèvement de la glaire cervicale. Pour ne pas altérer le prélèvement, le médecin ne peut pas utiliser de gel pour faire glisser le speculum. C'est froid et désagréable. Je fixe le plafond et attend que ça passe. Nouvelle échographie.
Avant de partir, nous demandons au médecin si les résultats du spermogramme effectué deux mois plus tôt lui sont parvenus. En ce qui nous concerne, seule la facture est arrivée... Nous allons à la réception, le médecin ouvre le dossier et consulte des papiers, puis nous invite à le suivre dans son bureau. Nous nous serrons fort les mains, on a déjà compris. Pas assez de spermatozoïdes.100'000 au lieu de 20 millions. Nous craquons un peu et exprimons enfin notre désarroi et notre malaise. On se sent perdus et le médecin nous parle sur le même ton que le garagiste. C'est notre vie intime qui est étalée là. Il n'y a plus que des termes techniques. La magie s'est envolée de cette pièce. On voudrait vraiment ignorer toutes ces choses sur le sperme, la glaire et les ovocytes. Dur. Mon mari doit refaire une spermogramme pour confirmer ou pas le premier. Nous ressortons vraiment sous le choc et ne savons pas si nous allons continuer les démarches.
Pour nous, la médecine de la procréation est un labyrinthe, impossible de savoir quand on en ressortira. Ces heures sont dures, pour moi comme pour mon mari. A priori, on ira au bout des démarches pour connaître notre situation exacte. Ensuite, nous ne savons pas. Peut-être que nous ne sommes pas prêts pour des traitements lourds, un suivi serré, des examens sans cesse.
Nous mesurons maintenant pleinement la chance qu'on les couples qui ont des enfants naturellement, sans problème.
Quelqu'un parmi vous a un ressenti similaire? Sommes-nous trop "sensibles"? Naïfs simplement?
Courage et patience. Un miracle se produira peut-être.
cela fait environ un 1 an que je connais ce site. Je le de temps en temps, essayant de ne pas y passer trop de temps. Notre parcours commence simplement: mariés, nous nous aimons très fort et désirons fonder une famille. J'arrête la pilule et nous attendons. Nous sommes très heureux, on se réjouit énormément. Six mois passent. Mes cycles sont longs, très longs. J'hésite à ma appeler ma gynécologue, j'ai peur qu'elle me rie au nez et me traite d'impatiente. Finalement, un cycle de 69 jours m'inquiète. En accord avec mon mari, je téléphone à ma gynéco pour lui demander son avis. Je ne demande même pas un rendez-vous, je voudrais juste savoir si je dois me préoccuper de ces cycles très longs. A ce stade je me dis qu'elle me répondra certainement de la rappeler 6 mois plus tard. Mais surprise, elle me propose un rendez-vous. C'est là que tout commence.
Lors du rendez-vous je lui explique la raison de ma venue en quelques mots. J'insiste sur le fait que c'est la longueur de mes cycles qui m'interpelle et non l'absence de grossesse après 6 mois d'essais. Sa première idée sera de me faire une échographie pour vérifier si j'ai des kystes sur les ovaires. Je n'ai jamais eu ce genre d'examen et je suis un peu surprise qu'elle se serve d'une sonde (j'ai l'image de l'échographie abdominale...). En plus, le jour du rendez-vous, mes règles ont débarqué après 45 jours. Moi qui normalement doit me forcer pour aller chez le gynéco, je dois m'accomoder d'une échographie vaginale en pleine période de règles. Bref. Je n'ai pas de kystes. Elle me prescrit alors une prise de sang pour vérifier mes taux d'hormones et me dit que j'ai peut-être un petit déséquilibre hormonal. Rassurante, elle m'explique aussi que la médecine sait très bien corriger ce genre de problèmes. Je rentre chez moi plutôt rassurée, même si j'appréhende quand même les résultats de la prise de sang. Une semaine plus tard, les résultats sont là. J'ai effectivement une déséquilibre hormonal "modeste" (ce sont ses mots). Elle me prescrit du Clomid et du Duphaston et m'explique que je vais devoir refaire une échographie et une prise de sang pour surveiller l'évolution de mes follicules. En rentrant chez moi je suis un peu chamboulée, j'ai l'impression de mettre le doigt dans quelque chose que je ne maîtrise pas. Mon mari me soutient beaucoup.
A l'échographie de contrôle ma gynéco ne peut que constater l'échec du traitement. Elle me fait quand même une prise de sang pour en être sûre. C'est le premier moment douloureux. Nous sommes déstabilisés et inquiets. Au rendez-vous suivant mon mari m'accompagne. La prise de sang confirme l'échographie: pas d'ovulation. En quelques phrases, le couperet tombe, elle dit ne rien pouvoir faire pour nous et nous envoie dans un centre spécialisé à Lausanne. Cette nouvelle est dure à avaler. Nous commençons à comprendre qu'il va probablement falloir renoncer à avoir un enfant sans aide médicale. Pour nous qui souhaitons une grande famille, le choc est rude. Malgré tout, on reste unis et confiants. Mon mari doit subir un premier "examen", un spermogramme. Ce sera un moment désagréable mais il est heureux de pouvoir s'impliquer plus.
NOus voilà à Lausanne. Le médecin nous pose énormément de questions. Certaines sont très intimes et nous laissent entrevoir ce que signifie partager sa vie très privée avec des médecins. Lors de ce même rendez-vous, j'ai droit à une nouvelle échographie. Le médecin nous explique que j'ai probablement des opk. C'est la première fois qu'un diagnostic précis est posé. Cela nous soulage beaucoup, surtout qu'en général ce n'est pas très grave. Le médecin nous propose alors une étude de cycle complète, étude qui implique la prise de clomid et des échographies de contrôles. Rien de plus précis n'est dit.
Commence alors une période d'attente (cycle long et vacances d'été...). Nous partons alors en vacances. détendus et heureux.
Puis, je téléphone pour annoncer mes règles. Nous ne l'avions alors pas compris mais tout est très calculé et organisé (rendez-vous à jours fixes...). Encore une échographie. Je ne les compte plus. Je dois prendre une double dose de Clomid, ce qui m'occasionne quelques bouffées de chaleur désagréables. A l'échographie de contrôle du milieu de cycle ma gynéco voit des images "lacunaires" sur mon utérus, elle ne sait pas ce que c'est. Par contre, un de mes ovaires fonctionne enfin. Les images sont faxées à Lausanne, je dois attendre des nouvelles. La seule information que j'aurai sera un rendez-vous le lundi suivant (nous étions un vendredi). Nous passons un week-end stressant à nous imaginer ce que je peux bien avoir. Lundi matin mon mari m'accompagne. Nous sommes tendus et commençons à trouver ce parcours pénible.Pendant l'échographie (encore), mon mari me tient la main, on respire ensemble. Ma gynéco ne dira rien de plus sur les "images lacunaires" mais confirme l'évolution d'un follicule. Une ovulation se prépare. Nous ressortons du cabinet soulagés, tous les espoirs semblent permis. Quelques heures plus tard, c'est autres chose... J'ai un téléphone du cabinet de ma gynéco. La secrétaire m'informe que j'ai rendez-vous le lendemain à 8h à Lausanne pour un test post-coïtal, test qui suppose un rapport sexuel le soir même entre 22h et 23h. Je suis abassourdie par cette nouvelle. Personne ne nous avait parlé de cela. J'en parle à mon mari qui est aussi choqué que moi. On ne comprend rien et on se sent traités comme des choses. Tendus et inquiets, nous suivons les instructions et allons ensemble au rdv à Lausanne.
Le fameux teste consiste en un prélèvement de la glaire cervicale. Pour ne pas altérer le prélèvement, le médecin ne peut pas utiliser de gel pour faire glisser le speculum. C'est froid et désagréable. Je fixe le plafond et attend que ça passe. Nouvelle échographie.
Avant de partir, nous demandons au médecin si les résultats du spermogramme effectué deux mois plus tôt lui sont parvenus. En ce qui nous concerne, seule la facture est arrivée... Nous allons à la réception, le médecin ouvre le dossier et consulte des papiers, puis nous invite à le suivre dans son bureau. Nous nous serrons fort les mains, on a déjà compris. Pas assez de spermatozoïdes.100'000 au lieu de 20 millions. Nous craquons un peu et exprimons enfin notre désarroi et notre malaise. On se sent perdus et le médecin nous parle sur le même ton que le garagiste. C'est notre vie intime qui est étalée là. Il n'y a plus que des termes techniques. La magie s'est envolée de cette pièce. On voudrait vraiment ignorer toutes ces choses sur le sperme, la glaire et les ovocytes. Dur. Mon mari doit refaire une spermogramme pour confirmer ou pas le premier. Nous ressortons vraiment sous le choc et ne savons pas si nous allons continuer les démarches.
Pour nous, la médecine de la procréation est un labyrinthe, impossible de savoir quand on en ressortira. Ces heures sont dures, pour moi comme pour mon mari. A priori, on ira au bout des démarches pour connaître notre situation exacte. Ensuite, nous ne savons pas. Peut-être que nous ne sommes pas prêts pour des traitements lourds, un suivi serré, des examens sans cesse.
Nous mesurons maintenant pleinement la chance qu'on les couples qui ont des enfants naturellement, sans problème.
Quelqu'un parmi vous a un ressenti similaire? Sommes-nous trop "sensibles"? Naïfs simplement?
Courage et patience. Un miracle se produira peut-être.
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- Messages : 11
- Inscription : lun. nov. 25, 2024 6:34 am
Votre histoire m'a mis la
Votre histoire m'a mis la boule à l'estomac... je ne peux pas t'aider, simplement compatir et vous souhaiter plein de courage pour cette épreuve imposée par Dame Nature...
Coucou Aliena, Je n'ai pas
Coucou Aliena,
Je n'ai pas vécu votre situation et je ne saurais pas te dire si je continuerais les tests ou pas. Je comprends bien qu'il doit être difficle de voir étaler ainsi sa vie des plus intime.
Ne vous serait-il pas possible de voir d'autres médecins plus humains ? Il existe heureusement des médecins qui prennent le temps d'expliquer ce qui se passe à leurs patients et qui ne les prennent pas pour des numéros ou juste des résultats d'analyse.
Pour ma part je chercherais quelqu'un qui me correspondrait mieux et surtout qui prendrait le temps et le soin de m'expliquer le pourquoi du comment.
Je te souhaite beaucoup de courage et t'envoie plein de soleil pour la réussite de vos projets!
Je n'ai pas vécu votre situation et je ne saurais pas te dire si je continuerais les tests ou pas. Je comprends bien qu'il doit être difficle de voir étaler ainsi sa vie des plus intime.
Ne vous serait-il pas possible de voir d'autres médecins plus humains ? Il existe heureusement des médecins qui prennent le temps d'expliquer ce qui se passe à leurs patients et qui ne les prennent pas pour des numéros ou juste des résultats d'analyse.
Pour ma part je chercherais quelqu'un qui me correspondrait mieux et surtout qui prendrait le temps et le soin de m'expliquer le pourquoi du comment.
Je te souhaite beaucoup de courage et t'envoie plein de soleil pour la réussite de vos projets!
perso je suis passée par ta
perso je suis passée par ta situation... 2 ans "d'essai" et pas de bébé à l'horizon... j'avais fait pleins de contrôle chez mon gynéco et le verdict était tombé : je n'ovulais pas (et ce sur 3 mois à suivre !!!) perso je n'avais pas envie d'aller plus loin dans les démarches pour des raisons personnelles.
puis l'année passée j'ai enlevé mon stérilet en août, car le médecin m'avait dit "de toute facon pas de grossesse avant 2 ans et surtout pas sans traitement"... et comme tu peux le voir sur ma signature bah je suis l'heureuse maman d'une petite puce de 2 mois (je suis donc tombée enceinte 2 mois après avoir enlevé le stérilet !!! lol)
donc je ne peux te donner qu'un conseil... patience et trouve un gynéco qui prenne le temps de t'écouter et de te conseiller.
courage !
puis l'année passée j'ai enlevé mon stérilet en août, car le médecin m'avait dit "de toute facon pas de grossesse avant 2 ans et surtout pas sans traitement"... et comme tu peux le voir sur ma signature bah je suis l'heureuse maman d'une petite puce de 2 mois (je suis donc tombée enceinte 2 mois après avoir enlevé le stérilet !!! lol)
donc je ne peux te donner qu'un conseil... patience et trouve un gynéco qui prenne le temps de t'écouter et de te conseiller.
courage !
Merci pour vos
Merci pour vos encouragements et vos conseils. Peut-être que le fait que nous vivons tout ça assez mal est lié aux médecins qui nous suivent. Ou alors c'est simplement que nous ne sommes pas prêts pour la procréation médicalement assistée. Nous sommes suivis chez Medixy, donc si quelqu'un a un avis, c'est volontiers...
Bonne soirée
Bonne soirée
Courage
J'ai eu le même parcoure que toi à une différence près c'est que lorsque j'ai arrêté la pilule je suis tombée enceinte tout de suite. Comme j'avais encore mes règles je ne l'ai pas su. C'est vers 3 mois que je me suis sentie bizzard et j'ai fais un teste malgrès que j'avais toujours mes règles et le teste était positif. C'est très heureuse que je me dis que je suis enceinte. Mais le lendemain je ressent comme des coup de couteaus dans le ventre et je commence à perdre du sang.
Rendez vous chez le gynéco et le verdicte et grossesse extra utérine. Je dois aller faire des injections et des écho plus prise de sang tous les 2 jours. Puis on recommence à faire un petit bébé. Rien. 6 mois et toujours rien. 1 année et toujours rien. Là on me prescrit du clomid et du duphaston, car j'ai des OPK. Le début ne donne rien. DOuble dose de Clomid et toujours rien. Comme quand tu es sous clomid tu dois souvent aller faire des échos pour moi c'était toutes les semaines. Dans la foulée un spérmo pour mon mari, un prélévement de glaire pour moi un 2ème spérmio pour mon mari et toujours rien. Les résultats du spérmio de mon mari n'e sont pas bons.Il n'a que 30% de chance de féconde un ovule contre 70% pour les hommes "normaux".
Une oppération pour me faire des trous dans les ovaires était envisagée pour 3 mois plus tard.
Après presque une année sous clomid et duphaston pour déclancher les règles on a arreté. Mon mari partait à l'armée et à son retour on allait commencé les IA. Première semaine d'armée nous nous sommes retrouvé comme avant avec envie de faire l'amour et plus tous les X jours pour les cycles pour les exams etc. On avait finit par le faire un peu comme des robots sans plaisir ni envie.
Et là, le premier week end de retour de mon chéri et ben je suis tombée enceinte naturellement au bout de 2 ans d'essai...Et j'ai accouché le 2 juillet 2005 d'un beau garçon.
Comme le gynéco m'avait dit que je ne pourrait pas ravoir d'enfant sans l'oppération pour les ovaires il m'a déjà presqurit du clomid avant même les essais pour bb2. Comme on ne voulais pas qu'il y aie trop d'eccart entre 2 bébés nous avons commencé les essais de bb2 lorsque le premier avait 9 mois. Et ben comme tu peus également le voir sous ma signature je suis l'heureuse maman d'un 2ème petit mec qui est arrivé le 17 février 2007 soit conçu un mois après le début des essais et ça sans rien faire...
Accroches toi et dis toi que si tu veux vraiemnt un enfant tout ça vaut la peine et que tu tomberas surement enceinte au moment ou tu t'y attends le moins...
Si jamais j'ai mon gynéco qui est à Lausanne et qui m'a super bien écoutée, consolée, et traitée si ça t'interresse
Bon courage
Céline
La maman la plus heureuse
Boîtes à dents de lait personalisées
Rendez vous chez le gynéco et le verdicte et grossesse extra utérine. Je dois aller faire des injections et des écho plus prise de sang tous les 2 jours. Puis on recommence à faire un petit bébé. Rien. 6 mois et toujours rien. 1 année et toujours rien. Là on me prescrit du clomid et du duphaston, car j'ai des OPK. Le début ne donne rien. DOuble dose de Clomid et toujours rien. Comme quand tu es sous clomid tu dois souvent aller faire des échos pour moi c'était toutes les semaines. Dans la foulée un spérmo pour mon mari, un prélévement de glaire pour moi un 2ème spérmio pour mon mari et toujours rien. Les résultats du spérmio de mon mari n'e sont pas bons.Il n'a que 30% de chance de féconde un ovule contre 70% pour les hommes "normaux".
Une oppération pour me faire des trous dans les ovaires était envisagée pour 3 mois plus tard.
Après presque une année sous clomid et duphaston pour déclancher les règles on a arreté. Mon mari partait à l'armée et à son retour on allait commencé les IA. Première semaine d'armée nous nous sommes retrouvé comme avant avec envie de faire l'amour et plus tous les X jours pour les cycles pour les exams etc. On avait finit par le faire un peu comme des robots sans plaisir ni envie.
Et là, le premier week end de retour de mon chéri et ben je suis tombée enceinte naturellement au bout de 2 ans d'essai...Et j'ai accouché le 2 juillet 2005 d'un beau garçon.
Comme le gynéco m'avait dit que je ne pourrait pas ravoir d'enfant sans l'oppération pour les ovaires il m'a déjà presqurit du clomid avant même les essais pour bb2. Comme on ne voulais pas qu'il y aie trop d'eccart entre 2 bébés nous avons commencé les essais de bb2 lorsque le premier avait 9 mois. Et ben comme tu peus également le voir sous ma signature je suis l'heureuse maman d'un 2ème petit mec qui est arrivé le 17 février 2007 soit conçu un mois après le début des essais et ça sans rien faire...
Accroches toi et dis toi que si tu veux vraiemnt un enfant tout ça vaut la peine et que tu tomberas surement enceinte au moment ou tu t'y attends le moins...
Si jamais j'ai mon gynéco qui est à Lausanne et qui m'a super bien écoutée, consolée, et traitée si ça t'interresse
Bon courage
Céline
La maman la plus heureuse
Boîtes à dents de lait personalisées
Merci pour ce message
Merci pour ce message encourageant. Cela montre que la médecine n'est pas infaillible. :-) Nous rassemblons nos forces pour aller au bout du bilan, puis nous verrons ce que nous ferons. Je pense qu'on ne va pas changer de médecins dans l'immédiat, on est au milieu d'un bilan complet. Si on décide de faire plus de démarches on réfléchira à ça.
Merci à toutes!
Merci à toutes!
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- Messages : 284
- Inscription : lun. nov. 25, 2024 6:31 am
J'ai connu une amie, pour
J'ai connu une amie, pour qui, les enfants ne sont pas venus "d'un coups".
le couple étaient marié depuis 5 ans quand leur premier bébé est arrivé. Après insémination, et au final FIV. Le monsieur avait des spermatozoides flemmards et madame du mal d'ovuler.
Pour le deuxième bébé, des années d'attente, de traitement, de frais. 5 ans de nouveau se sont passés, avec une FIV de dernière chance ( par manque de moyens) et bingo, Bébé est là, en pleine forme. Peu d'espoir au départ, et deux enfants ont agrandis la famille.
1 an après l'arrivée du deuxième bébé, ma copine est enceinte (naturellement), qui aurait cru que cela puisse leur arrivé à eux, qui avaient fait le parcours du combattant pour leurs 2 enfnats. Malheureusement , cette grossesse n'est pas arriver à terme, mais cela prouve qu'un espoir est toutjours permis.
J'espère que tu ne baisseras pas les bras, que vous vous battrez pour avoir de beaux enfants.
Cette connaissance avait fait de l'acuponcure, il parait que ça aide. Je te souhaite d'avoir du courage et de garder espoir.
Redonne nous des nouvelles
bisous
http://www.bebe.ch/drupal/node/62889
connexion à mon blog.vêtements et divers à vendre
le couple étaient marié depuis 5 ans quand leur premier bébé est arrivé. Après insémination, et au final FIV. Le monsieur avait des spermatozoides flemmards et madame du mal d'ovuler.
Pour le deuxième bébé, des années d'attente, de traitement, de frais. 5 ans de nouveau se sont passés, avec une FIV de dernière chance ( par manque de moyens) et bingo, Bébé est là, en pleine forme. Peu d'espoir au départ, et deux enfants ont agrandis la famille.
1 an après l'arrivée du deuxième bébé, ma copine est enceinte (naturellement), qui aurait cru que cela puisse leur arrivé à eux, qui avaient fait le parcours du combattant pour leurs 2 enfnats. Malheureusement , cette grossesse n'est pas arriver à terme, mais cela prouve qu'un espoir est toutjours permis.
J'espère que tu ne baisseras pas les bras, que vous vous battrez pour avoir de beaux enfants.
Cette connaissance avait fait de l'acuponcure, il parait que ça aide. Je te souhaite d'avoir du courage et de garder espoir.
Redonne nous des nouvelles
bisous
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- Inscription : lun. nov. 25, 2024 6:35 am
Ton message me touche
Ton message me touche beaucoup car j'ai vecu de que tu as décrit, je disais que j'avais l'impression d'avaoir mis le petit doigt dans la machine médicale et d'y être jusqu'au cou...
Pour faire court notre histoire est la même que la vôtre, sauf que chez nous tout était "normal" et après 2 ans d'essai de bébé, on a envisagé de consulter et on a mis le petit doigt...
Mais en prennant du temps, car on espèrait toujours d'avoir un enfant naturelement, j'ai fait 9 IA sans succès, qui nous on laissé ko, on a attendu un peu, changé de gynéco et au début 2006, on a commencé une FIV, après plusieurs contre temps, cette FIV a été faite le 25 novembre et on a eu l'immence bonheur que ça marche et maintenant Matéo a 1 an et c'est que du bonheur.
Les conseils que je peux vous donner c'est de prendre votre temps, de vous sentir prêt à éventuellement aller vers les PMA et surtout d'avoir le meilleur spécialiste en PMA de Lausanne, c'est important! je ne peux pas te donner de noms car on a fait notre FIV sur Genève.
Et de toujours y croire, car il suffit d'un folicule et d'un spermato, dans une belle nuit d'amour!
Je t'embrasse et si tu veux me parler, quand tu en a besoin, par mp, je suis là.
Pour faire court notre histoire est la même que la vôtre, sauf que chez nous tout était "normal" et après 2 ans d'essai de bébé, on a envisagé de consulter et on a mis le petit doigt...
Mais en prennant du temps, car on espèrait toujours d'avoir un enfant naturelement, j'ai fait 9 IA sans succès, qui nous on laissé ko, on a attendu un peu, changé de gynéco et au début 2006, on a commencé une FIV, après plusieurs contre temps, cette FIV a été faite le 25 novembre et on a eu l'immence bonheur que ça marche et maintenant Matéo a 1 an et c'est que du bonheur.
Les conseils que je peux vous donner c'est de prendre votre temps, de vous sentir prêt à éventuellement aller vers les PMA et surtout d'avoir le meilleur spécialiste en PMA de Lausanne, c'est important! je ne peux pas te donner de noms car on a fait notre FIV sur Genève.
Et de toujours y croire, car il suffit d'un folicule et d'un spermato, dans une belle nuit d'amour!
Je t'embrasse et si tu veux me parler, quand tu en a besoin, par mp, je suis là.
C'est avec émotion que nous
C'est avec émotion que nous lisons vos messages. Merci beaucoup. :-) On va s'accrocher, garder espoir.
Ton histoire
Ton histoire m'interpelle..
Je suis passée par la procréation assistée... mais a la difféence de bcp d'entres vous, moi je savais depuis longtemps que ca serait compliqué.
J'ai tjs su que je ne pourrais pas concevoir ( ou alors très difficilement) un enfant naturellement. Et j'ai l'avantage de très bien connaitre le milieu médical. Je dis tjs que dans ce milieu, il faut savoir : oublier son intimité et s'asseoir sur sa pudeur. Sinon impossible d'avancer.
Notre parcours, fut plus court, qques examens pour moi, controle de cycle, hystérosalpingographie, et prélevement de la glaire cervicale ( le prob chez moi) et spermio pour mon chéri. Et on a du faire de inséminations, heureusement pour nous, la deuxième a fonctionné. :)
Comme, je le disais, avec mon chéri, on était "pret" a faire ce parcours. On savait que si on décidait de faire un bb, ca serait avec la science et que notre vie intime serait déballée. Mais meme en étant pret, le choc fu rude et notre vie intime mise a dure épreuve. On savait depuis tjs qu'on ne ferait pas un enfant naturellement, mais quand il a fallu affronter tout ca, ben c'était dur. Dur d'entendre que j'étais hypofertile. Dur de voir, ce que l'on a tjs considérer come un acte d'amour intime, étaler sur un bureau, rempli de terme technique.
Dur l'attente. dur de faire l'amour sur commande, ou de ne pas pouvoir faire l'amour. dur ce sentiment de " suis-je enceinte?" sans pouvoir y accoler un joli souvenir...
Alors toi, qui ne t'attendait pas du tout a cela, ca doit etre encore plus lourd à assumer.
Je suis mal placée pour te donner un conseil.. Mais je dirais, que vous n'etes pas obliger d'aller au bout de vos démarches, mtn, vous pouvez "faire une pause", et reprendre quand vous serez prets. Quand vous aurez, digérer, tout ca.
Je suis mtn enceinte, et j'ai déja oublier, ce parcours du combattant. Oublier que mon bb, n'a pas été concu par une nuit torride ( lol), ce qui compte c'est ce petit bout qui pousse en moi. Et je suis sure que toi aussi quand tu seras enceinte, tu oublieras tout ca. Tache juste de ne pas t'oublier en route, ni toi, ni ton mari...
J'étais suivie au CPMA à Lausanne, perso, j'ai été très bien encadrée...
Je te souhaite bcp de courage!
:)
P.s. Dans ce centre, j'ai pu rencontrer une psy, ca nous a fait bcp de bien... :)
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Sam, 27 ans, mucotte, Valaisanne, enceinte par insémination intra-utérine ( 2ème essai)
"Donnez le souffle de vie!!"
Je suis passée par la procréation assistée... mais a la difféence de bcp d'entres vous, moi je savais depuis longtemps que ca serait compliqué.
J'ai tjs su que je ne pourrais pas concevoir ( ou alors très difficilement) un enfant naturellement. Et j'ai l'avantage de très bien connaitre le milieu médical. Je dis tjs que dans ce milieu, il faut savoir : oublier son intimité et s'asseoir sur sa pudeur. Sinon impossible d'avancer.
Notre parcours, fut plus court, qques examens pour moi, controle de cycle, hystérosalpingographie, et prélevement de la glaire cervicale ( le prob chez moi) et spermio pour mon chéri. Et on a du faire de inséminations, heureusement pour nous, la deuxième a fonctionné. :)
Comme, je le disais, avec mon chéri, on était "pret" a faire ce parcours. On savait que si on décidait de faire un bb, ca serait avec la science et que notre vie intime serait déballée. Mais meme en étant pret, le choc fu rude et notre vie intime mise a dure épreuve. On savait depuis tjs qu'on ne ferait pas un enfant naturellement, mais quand il a fallu affronter tout ca, ben c'était dur. Dur d'entendre que j'étais hypofertile. Dur de voir, ce que l'on a tjs considérer come un acte d'amour intime, étaler sur un bureau, rempli de terme technique.
Dur l'attente. dur de faire l'amour sur commande, ou de ne pas pouvoir faire l'amour. dur ce sentiment de " suis-je enceinte?" sans pouvoir y accoler un joli souvenir...
Alors toi, qui ne t'attendait pas du tout a cela, ca doit etre encore plus lourd à assumer.
Je suis mal placée pour te donner un conseil.. Mais je dirais, que vous n'etes pas obliger d'aller au bout de vos démarches, mtn, vous pouvez "faire une pause", et reprendre quand vous serez prets. Quand vous aurez, digérer, tout ca.
Je suis mtn enceinte, et j'ai déja oublier, ce parcours du combattant. Oublier que mon bb, n'a pas été concu par une nuit torride ( lol), ce qui compte c'est ce petit bout qui pousse en moi. Et je suis sure que toi aussi quand tu seras enceinte, tu oublieras tout ca. Tache juste de ne pas t'oublier en route, ni toi, ni ton mari...
J'étais suivie au CPMA à Lausanne, perso, j'ai été très bien encadrée...
Je te souhaite bcp de courage!
:)
P.s. Dans ce centre, j'ai pu rencontrer une psy, ca nous a fait bcp de bien... :)
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Sam, 27 ans, mucotte, Valaisanne, enceinte par insémination intra-utérine ( 2ème essai)
"Donnez le souffle de vie!!"
Coucou Nous ne sommes pas du
Coucou
Nous ne sommes pas du tout passés par là avec mon mari. J'ai arrêté la pillule et 2 ans après je suis tombée enceinte... sur la fin on commençait à nous inquiéter, et envisagions d'aller commencer à consulter. Mais finalement la surprise est tombée.
On a de la chance, et ton message me le confirme, et me touche, car on ne s'imagine pas ce que c'est toutes ces démarches avant que l'on soit réellement concernés. J'espère de tout coeur que votre histoire aboutisse, et vous souhaite plein de courage,
bises
Nous ne sommes pas du tout passés par là avec mon mari. J'ai arrêté la pillule et 2 ans après je suis tombée enceinte... sur la fin on commençait à nous inquiéter, et envisagions d'aller commencer à consulter. Mais finalement la surprise est tombée.
On a de la chance, et ton message me le confirme, et me touche, car on ne s'imagine pas ce que c'est toutes ces démarches avant que l'on soit réellement concernés. J'espère de tout coeur que votre histoire aboutisse, et vous souhaite plein de courage,
bises
Coucou Aliéna, Je ne suis
Coucou Aliéna,
Je ne suis pas dans ton cas mais l'histoire de ma tante peut peut-être t'encourager dans tes démarches...
Alors elle a essayé durant 11 années d'avoir un bb. IA, FIV, traitements, opérations, elle est passée par pas mal de choses très dures et après tout ça tjs pas de bb. Jusqu'au jour ou avec une FIV ça a marché, enfin !!! 9 mois plus tard un tout tit bibou prénommé Johan était parmis nous...mais le plus drôle c'est quand elle nous a annoncé à peine 3 mois plus tard qu'elle était à nouveau enceinte et ça le plus normalement du monde... Aujourd'hui elle a un garçon et une fille qui n'ont pas 12 mois d'éccart !!! Comme quoi la vie peut nous réserver de belles surprises et nous récompenser d'avoir fait preuve de tant de courage !
Alors je te souhaite plein de courage et j'espère que tu serras bientôt dans tes bras ton 1er bb...
Bises Nanie
Je ne suis pas dans ton cas mais l'histoire de ma tante peut peut-être t'encourager dans tes démarches...
Alors elle a essayé durant 11 années d'avoir un bb. IA, FIV, traitements, opérations, elle est passée par pas mal de choses très dures et après tout ça tjs pas de bb. Jusqu'au jour ou avec une FIV ça a marché, enfin !!! 9 mois plus tard un tout tit bibou prénommé Johan était parmis nous...mais le plus drôle c'est quand elle nous a annoncé à peine 3 mois plus tard qu'elle était à nouveau enceinte et ça le plus normalement du monde... Aujourd'hui elle a un garçon et une fille qui n'ont pas 12 mois d'éccart !!! Comme quoi la vie peut nous réserver de belles surprises et nous récompenser d'avoir fait preuve de tant de courage !
Alors je te souhaite plein de courage et j'espère que tu serras bientôt dans tes bras ton 1er bb...
Bises Nanie
Je compatis tellement...
Je compatis tellement... puisque je vis actuellement à quelque chose près le même parcours du combattant que toi. J'ai laissé mon vécu dans la discussion "drilling ovarien".
Je relève deux-trois choses: la première c'est que énormément de femme ne répondent pas au Clomid et un traitement plus fort (par exemple Gonal F)existe.
Je suis considérée comme un cas "difficile" mais pas "désespéré".... notre fils Thomas est venu après 5 ans d'essais sans traitement. Alors la médecine, oui, heureusement qu'elle est là mais elle ne contrôle pas tout. Il est très très important, que vous soyez suivi par un/une gynécologue qui a du temps et de la compassion.
Si tu as envie de papoter, je suis là.
Beaucoup de courage et vous deux et... il faut y croire!
Je relève deux-trois choses: la première c'est que énormément de femme ne répondent pas au Clomid et un traitement plus fort (par exemple Gonal F)existe.
Je suis considérée comme un cas "difficile" mais pas "désespéré".... notre fils Thomas est venu après 5 ans d'essais sans traitement. Alors la médecine, oui, heureusement qu'elle est là mais elle ne contrôle pas tout. Il est très très important, que vous soyez suivi par un/une gynécologue qui a du temps et de la compassion.
Si tu as envie de papoter, je suis là.
Beaucoup de courage et vous deux et... il faut y croire!
Je sais qu'il faut
Je sais qu'il faut s'accrocher et on le fera. Il va nous falloir du temps pour encaisser. Une ovulation difficile et si peu de spermatozoïdes, c'est un choc. On se voyait déjà avec 3 ou 4 enfants. On espère un miracle.
Merci à toutes.
Merci à toutes.
Encore un petit mot pour vous encourager:
Encore un petit mot pour vous encourager:
Les gens vont vous dire (ou vous l'on déja dit), "n'y pense pas, ça viendra tout seul" oui, merci bien , comment ne pas y pensez quand on doit faire l'amour sur demande, calculer l'ovulation, etc... cette phrase je l'ai entendue 1000X, c'est pas méchant, mais ça aide pas vraiment.
mais une amie, collègue m'a dit un jour:
-vous voulez un enfant?
-oui, mais ça vient pas comme on voudrait...(ma phrase type)
-ne t'inquiète pas, c'est lui qui doit vous choisir et venir vers vous.
Sur le coup quand elle m'a dit ça, ça m'a touché et c'est resté dans mon coeur, je pensais à sa petite phrase dans les moments difficiles et quand je vois maintenant mon fils, je me dis que c'est vrai, ça ne pouvait être que lui et c'est un miracle!
Et votre miracle (vos miracles) vont vous choisir et vont venir vers vous!
Ayez confiance!
Les gens vont vous dire (ou vous l'on déja dit), "n'y pense pas, ça viendra tout seul" oui, merci bien , comment ne pas y pensez quand on doit faire l'amour sur demande, calculer l'ovulation, etc... cette phrase je l'ai entendue 1000X, c'est pas méchant, mais ça aide pas vraiment.
mais une amie, collègue m'a dit un jour:
-vous voulez un enfant?
-oui, mais ça vient pas comme on voudrait...(ma phrase type)
-ne t'inquiète pas, c'est lui qui doit vous choisir et venir vers vous.
Sur le coup quand elle m'a dit ça, ça m'a touché et c'est resté dans mon coeur, je pensais à sa petite phrase dans les moments difficiles et quand je vois maintenant mon fils, je me dis que c'est vrai, ça ne pouvait être que lui et c'est un miracle!
Et votre miracle (vos miracles) vont vous choisir et vont venir vers vous!
Ayez confiance!
Merci pour cette belle
Merci pour cette belle pensée, j'en ai les larmes aux yeux. Cela me réconforte et me fait du bien. Ce sera un grand bonheur de l'accueillir enfin, quand il viendra vers nous.